Biologie

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Crédits. Bioinformatique : Amy Taylor/flickr/CC BY-NC-SA 2.0 ; Biologie cellulaire : Torsten Wittmann-University of California-San Francisco/flickr/CC BY-NC 2.0 ; Biologie végétale : Eckhard Völcker/flickr/CC BY-NC-SA 2.0 ; Biomatériaux & Génie tissulaire : NIH NIAMS/flickr/CC BY-NC-SA 2.0 ; Comportement animal : Logan C. J., PeerJ, 2016/CC BY 4.0 ; Développement : zeissmicro/flickr/CC BY-NC-ND 2.0 ; Évolution : Kress-Bennett J., et al., PLOS One, 2016/CC BY 4.0 ; Génétique & Épigénétique : Nietoropeza/flickr/CC BY-NC 2.0 ; Immunologie : NIH NIAID/flickr/CC BY 2.0 ; Microbiologie : NIH NIAID/flickr/CC BY 2.0 ; Neurobiologie : I. Williams-NICHHD/flickr ; Oncologie : Rita Elena Serda-National Cancer Institute-NIH/flickr/CC BY-NC 2.0.

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Pourquoi les plantes ont-elles de l’acné ?

Alors que chez l’espèce humaine l’acné apparaît à l’adolescence, chez la plante, des pustules appelées galles apparaissent chaque printemps. Le responsable : le puceron Piccolotte et ses piqûres chamboulent tout dans la vie de la petite plante Amélie. La discussion d’Amélie avec Mamy Ramure lui permettra de comprendre comment un si petit insecte peut lui laisser de telles marques sur son feuillage.

Chez les poux : c’est bien la taille qui compte !

Survivre, oui, mais à quel prix ? Si être taillé comme Goliath favorise une meilleure survie dans un nouveau milieu, cela peut-il devenir un obstacle à la reproduction avec sa propre espèce ? Alliés inattendus, les poux pourraient nous aider à en apprendre plus sur cette question.

La plasticité transgénérationnelle : un mécanisme d’adaptation aux changements environnementaux ?

Les organismes vivent dans un environnement variable dans le temps et l’espace. Par exemple, la température change au cours de la journée, de l’année et au fil des ans. Les réponses physiologiques, morphologiques et comportementales pour survivre dans un environnement chaud ou froid sont différentes. Alors, comment les organismes produisent-ils une réponse appropriée à leur environnement quand celui-ci est fluctuant ?

SOS, antibiotiques en détresse !

Malgré des antibiotiques efficaces, il arrive que certaines infections bactériennes rechutent. Un casse-tête médical sur lequel planchent les scientifiques depuis plusieurs années déjà. Dans cette publication, Peter Hill et ses collègues étudient la population d’irréductibles bactéries dont les patients atteints de salmonellose invasive récurrente n’arrivent pas à se débarrasser. L’équipe met également en lumière un ingrédient de la potion magique nécessaire à ce tour de force bactérien.

La circulation océanique offre-t-elle des proies à un superprédateur marin ?

Dans les océans du monde entier, les vastes courants marins déplacent l’eau d’un océan à l’autre. Des masses d’eau appelées tourbillons océaniques se détachent des eaux tourbillonnantes du Gulf Stream en transportant l’eau vers le littoral ou au large. Jusqu’alors, les tourbillons océaniques anticycloniques chauds étaient connus pour être désertiques. Cependant, une publication de 2019 a récemment montré que ces tourbillons anticycloniques sont des points chauds de nourriture pour l’un des requins les plus exploités de l’océan Atlantique, le requin bleu.

Nematostella, se sustenter pour tentaculer

Stella, jeune anémone de mer, se prélasse dans l’eau. Un beau jour, au gré des marées, un splendide festin de minuscules crustacés s’offre à elle. Avec ses quatre bras tentaculaires, elle mange par petites bouchées sans s’arrêter. À la suite de cette copieuse collation, elle se regarde dans la glace et quelle surprise ! Ce ne sont pas des bourrelets qu’elle voit poindre, mais 2, puis 4, puis 12 bourgeons de tentacules. Mais comment cela est-il possible ? N’attendez plus, c’est au menu d’un article scientifique publié par l’équipe d’Aissam Ikmi en 2020.

Le récepteur Piezo2 est essentiel pour la sensation de la position du corps dans l’espace

En 2021, le prix Nobel de physiologie a récompensé la découverte de molécules permettant à nos neurones sensoriels de détecter les stimulations extérieures : le chaud, le froid, une pression mécanique, des éléments chimiques, mais aussi l’étirement ou la déformation des cellules. Grâce à l’une de ces molécules, appelée canal Piezo2, il nous est possible de tenir debout, de marcher ou de faire nos lacets. La publication scientifique présentée ici explique le rôle de ce canal.